L'incitation au changement de genre
Bien qu'ils s'en défendront, les concepteurs du programme EVRAS introduisent dans l'esprit des enfants très tôt la possibilité de changer de genre sous prétexte de les amener à la tolérance envers la minorité transgenre ou d'inclusivité.
Si tant est qu'ils se soient quelque peu entourés d'avis professionnels, c'est soit une grande maladresse, soit une intention coupable d'incitation à la déconstruction de l'identité de genre, telle que la propagande en est faite si fréquemment dans les médias et lors d'activités comme les contes organisés dans les bibliothèques notamment par la ligue LGBT, sous l'intitulé "unique en son genre".
Car il est bien écrit dans la dernière mouture (pas encore revisitée) du guide de l'EVRAS, page 160, qu'un enfant de 5 ans devrait "prendre conscience que son identité de genre peut être identique ou différente de celle assignée à la naissance."
On peut aussi lire (p. 162) qu'un enfant de 9 ans devrait "se sentir libre de questionner les normes et stéréotypes de genre pour trouver son point de confort. Il s'agit de l'ensemble des éléments pouvant être mis en place par une personne transgenre afin de favoriser le sentiment de bien être par rapport à sa propre identité de genre : adopter une démarche différente (ou pas), changer sa façon de s'habiller (ou pas), prendre des hormones (ou pas), recourir à des opérations chirurgicales (ou pas)."
Les enfants en période dite de latence (6 à 11 ans), car il n’y a pas de changement important visible dans leur comportement, ni dans leur apparence, traversent une phase sensible où des éléments psychiques constructeurs de l’identité se produisent à bas bruit.
L’enfant est de nature influençable, surtout par les adultes.
Ce que l’adulte lui montre comme « normal » n’est pas anodin. Cela peut être vécu de différentes façons et il est possible qu’un enfant ressente comme un encouragement ou une « séduction » une approche un peu trop franche ou interpelante de la sexualité. Cela peut avoir des conséquences dommageables sur le besoin de refoulement présent à cet âge.
Il est régulier que les enfants traversent une phase de questionnement par rapport à leur identité, leur sexualité.
En général, cela aboutit de manière naturelle à un apaisement et ils assument qui ils sont du fait de leur nature, de leur genre.
Il arrive, dans de rares cas (entre 0,005 et 0,014% des hommes selon le sexe de naissance et 0,002 à 0,003% des femmes selon le sexe de naissance), que cela perdure et que la personne en vienne à vouloir inscrire un changement d’apparence.
Cela n’est pas sans souffrance et un accompagnement spécifique doit se faire avec des psys qualifiés, afin d’établir si vraiment ce changement va apporter une solution ou accroître le problème.
Car malheureusement, le mal-être peut perdurer et, devant l’irréversibilité de la situation, le suicide est une conséquence possible.
Le risque de banaliser auprès des 6-9 ans le changement de genre, voire d’en faire un effet de mode, validé par les adultes, sous couvert de « tolérance » d’un phénomène relativement rare, pourrait être de les influencer à opter pour des solutions qui ne feraient que les plonger vers plus de troubles de l’identité, jusqu’à ne plus avoir de référence.
Créer une instabilité dans le questionnement relatif à l’orientation et aux pratiques sexuelles déjà fragiles à cet âge peut aussi les rendre vulnérables à l’action de prédateurs sexuels.
Par ailleurs, en matière de sexualité, il est important d’accompagner l’enfant dans ses questionnements quand ils surviennent, pas de le précéder et de l’y forcer.
Sinon, cela a un effet « effractant », une sorte de violence psychologique qui consiste à les exposer à un élément perturbant leur monde psychique à un moment où ils ne sont pas prêts.
Des conséquences traumatiques et des difficultés dans la sphère du développement sexuel sont alors à craindre.
Malheureusement, il est des régions du monde où cette idéologie a déjà progressé et touché des enfants très jeunes.
Aux USA, on peut voir des cliniques traitant la dysphorie de genre dès l'âge de 2 ans.
Ferons-nous en sorte que que cela ne se produise pas chez nous?
Devant une telle banalisation de ce phénomène, vendu dans nos écoles comme une simple décision afin de "trouver son point de confort" (voyez comment les mots sont amenés, n'y voit-on aucune ressemblance avec les techniques commerciales de propagande?), il convient de rappeler toute la souffrance qu'implique ce parcours de transition de genre, ainsi que les risques de se tromper et les témoignages (plus nombreux qu'on ne le prétend) de personnes qui ont dé-transitionné.
Nous vous invitons à lire à ce sujet cet excellent article écrit par Madame Senta Depuydt, une journaliste qui a fait un travail de recherche remarquable.
Si tant est qu'ils se soient quelque peu entourés d'avis professionnels, c'est soit une grande maladresse, soit une intention coupable d'incitation à la déconstruction de l'identité de genre, telle que la propagande en est faite si fréquemment dans les médias et lors d'activités comme les contes organisés dans les bibliothèques notamment par la ligue LGBT, sous l'intitulé "unique en son genre".
Car il est bien écrit dans la dernière mouture (pas encore revisitée) du guide de l'EVRAS, page 160, qu'un enfant de 5 ans devrait "prendre conscience que son identité de genre peut être identique ou différente de celle assignée à la naissance."
On peut aussi lire (p. 162) qu'un enfant de 9 ans devrait "se sentir libre de questionner les normes et stéréotypes de genre pour trouver son point de confort. Il s'agit de l'ensemble des éléments pouvant être mis en place par une personne transgenre afin de favoriser le sentiment de bien être par rapport à sa propre identité de genre : adopter une démarche différente (ou pas), changer sa façon de s'habiller (ou pas), prendre des hormones (ou pas), recourir à des opérations chirurgicales (ou pas)."
Les enfants en période dite de latence (6 à 11 ans), car il n’y a pas de changement important visible dans leur comportement, ni dans leur apparence, traversent une phase sensible où des éléments psychiques constructeurs de l’identité se produisent à bas bruit.
L’enfant est de nature influençable, surtout par les adultes.
Ce que l’adulte lui montre comme « normal » n’est pas anodin. Cela peut être vécu de différentes façons et il est possible qu’un enfant ressente comme un encouragement ou une « séduction » une approche un peu trop franche ou interpelante de la sexualité. Cela peut avoir des conséquences dommageables sur le besoin de refoulement présent à cet âge.
Il est régulier que les enfants traversent une phase de questionnement par rapport à leur identité, leur sexualité.
En général, cela aboutit de manière naturelle à un apaisement et ils assument qui ils sont du fait de leur nature, de leur genre.
Il arrive, dans de rares cas (entre 0,005 et 0,014% des hommes selon le sexe de naissance et 0,002 à 0,003% des femmes selon le sexe de naissance), que cela perdure et que la personne en vienne à vouloir inscrire un changement d’apparence.
Cela n’est pas sans souffrance et un accompagnement spécifique doit se faire avec des psys qualifiés, afin d’établir si vraiment ce changement va apporter une solution ou accroître le problème.
Car malheureusement, le mal-être peut perdurer et, devant l’irréversibilité de la situation, le suicide est une conséquence possible.
Le risque de banaliser auprès des 6-9 ans le changement de genre, voire d’en faire un effet de mode, validé par les adultes, sous couvert de « tolérance » d’un phénomène relativement rare, pourrait être de les influencer à opter pour des solutions qui ne feraient que les plonger vers plus de troubles de l’identité, jusqu’à ne plus avoir de référence.
Créer une instabilité dans le questionnement relatif à l’orientation et aux pratiques sexuelles déjà fragiles à cet âge peut aussi les rendre vulnérables à l’action de prédateurs sexuels.
Par ailleurs, en matière de sexualité, il est important d’accompagner l’enfant dans ses questionnements quand ils surviennent, pas de le précéder et de l’y forcer.
Sinon, cela a un effet « effractant », une sorte de violence psychologique qui consiste à les exposer à un élément perturbant leur monde psychique à un moment où ils ne sont pas prêts.
Des conséquences traumatiques et des difficultés dans la sphère du développement sexuel sont alors à craindre.
Malheureusement, il est des régions du monde où cette idéologie a déjà progressé et touché des enfants très jeunes.
Aux USA, on peut voir des cliniques traitant la dysphorie de genre dès l'âge de 2 ans.
Ferons-nous en sorte que que cela ne se produise pas chez nous?
Devant une telle banalisation de ce phénomène, vendu dans nos écoles comme une simple décision afin de "trouver son point de confort" (voyez comment les mots sont amenés, n'y voit-on aucune ressemblance avec les techniques commerciales de propagande?), il convient de rappeler toute la souffrance qu'implique ce parcours de transition de genre, ainsi que les risques de se tromper et les témoignages (plus nombreux qu'on ne le prétend) de personnes qui ont dé-transitionné.
Nous vous invitons à lire à ce sujet cet excellent article écrit par Madame Senta Depuydt, une journaliste qui a fait un travail de recherche remarquable.