Le rôle des parents ou des tuteurs légaux
Comme nous l'avons vu à la page des lois, la convention relative aux droits de l'enfant stipule que les parents ont la responsabilité en matière d'éducation afin que les enfants ne souffrent pas notamment de violences psychiques.
Dans son site, le Pr M Berger mentionnait :
"l’éducation à la sexualité telle qu’elle est réalisée peut être source de traumatisme psychique. Les témoignages rapportés sur le site par des parents et par des jeunes montrent que suite à des séances d’éducation à la sexualité, un certain nombre d’enfants présentent les symptômes suivants : malaise, troubles du sommeil, sidération, évitement des supports visuels (dessins, films) avec besoin de ne pas les regarder, refus de participer à d’autres séances sur ce thème, impossibilité de reparler de ce qui s’est dit pendant ces séances « pour oublier leur contenu », sentiment de honte, d’avoir été souillé (« on m’a violée de l’intérieur »). Il s’agit là des symptômes typiquement liés à un traumatisme psychique.
La préconisation aberrante qui consiste à affirmer qu’il faut parler des différents aspects de la sexualité AVANT que l’enfant ou l’adolescent se pose des questions ne peut qu’être source de traumatisme. Un enfant découvre son corps, son anatomie, à SON rythme, et pas à la vitesse imposée par des standards européens. Tous les enfants de la même classe n’en sont pas au même niveau."
Qui, mieux que les parents dans les conditions normales, connaissent suffisamment l'enfant et savent créer un climat de confiance suffisant pour accueillir les questions délicates au moment où elles émergent dans l'esprit de leur enfant?
Bien sûr ceux-ci sont parfois démunis et il serait normal de les aider à cette tâche.
Des professionnels de la santé mentale ont ce rôle.
Et un travail de communication et de mise en place des moyens autour de ces possibilités serait bienvenu.
Mais il est pour le moins maladroit et au plus dommageable de laisser des inconnus, fussent-ils formés (par qui et comment?), s'occuper, de manière standardisée et à un moment imposé, de fournir à tous les enfants d'une classe, sans aucun souci pour la pudeur, ni pour la sensibilité individuelle, un contenu convenant aux adultes mais inapproprié au niveau de développement de l'enfant.
De plus, le parent auquel les enseignants se sont substitués aurait le droit de s'indigner et de porter plainte.
Dans son site, le Pr M Berger mentionnait :
"l’éducation à la sexualité telle qu’elle est réalisée peut être source de traumatisme psychique. Les témoignages rapportés sur le site par des parents et par des jeunes montrent que suite à des séances d’éducation à la sexualité, un certain nombre d’enfants présentent les symptômes suivants : malaise, troubles du sommeil, sidération, évitement des supports visuels (dessins, films) avec besoin de ne pas les regarder, refus de participer à d’autres séances sur ce thème, impossibilité de reparler de ce qui s’est dit pendant ces séances « pour oublier leur contenu », sentiment de honte, d’avoir été souillé (« on m’a violée de l’intérieur »). Il s’agit là des symptômes typiquement liés à un traumatisme psychique.
La préconisation aberrante qui consiste à affirmer qu’il faut parler des différents aspects de la sexualité AVANT que l’enfant ou l’adolescent se pose des questions ne peut qu’être source de traumatisme. Un enfant découvre son corps, son anatomie, à SON rythme, et pas à la vitesse imposée par des standards européens. Tous les enfants de la même classe n’en sont pas au même niveau."
Qui, mieux que les parents dans les conditions normales, connaissent suffisamment l'enfant et savent créer un climat de confiance suffisant pour accueillir les questions délicates au moment où elles émergent dans l'esprit de leur enfant?
Bien sûr ceux-ci sont parfois démunis et il serait normal de les aider à cette tâche.
Des professionnels de la santé mentale ont ce rôle.
Et un travail de communication et de mise en place des moyens autour de ces possibilités serait bienvenu.
Mais il est pour le moins maladroit et au plus dommageable de laisser des inconnus, fussent-ils formés (par qui et comment?), s'occuper, de manière standardisée et à un moment imposé, de fournir à tous les enfants d'une classe, sans aucun souci pour la pudeur, ni pour la sensibilité individuelle, un contenu convenant aux adultes mais inapproprié au niveau de développement de l'enfant.
De plus, le parent auquel les enseignants se sont substitués aurait le droit de s'indigner et de porter plainte.