Un très bon résumé de son influence se trouve ici

On se rend compte que cet homme a su, avec l'appui des fondations Rockefeller et Ford notamment, produire et diffuser des travaux sur la sexualité humaine dès le plus jeune âge qui ont déclenché la révolution sexuelle d'après guerre.

Entomologiste et zoologiste, il s'est mis à étudier la sexualité des humains à travers le filtre de ses perversions pédophiles, satanistes et sadomasochistes.

En reprenant des données épidémiologiques glanées auprès de prisonniers et de prostituées majoritairement, il a tiré des conclusions sur les comportements sexuels qu'il qualifiait de normaux dans la population générale.

Quant aux enfants, il a confié la tâche à des pédophiles de compter minutieusement les "orgasmes" des enfants qu'ils violaient depuis l'âge de 5 mois.
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Il qualifiait d'orgasme des convulsions, pleurs, évanouissements et tentatives de se débattre.

Il en a tout naturellement conclu que les enfants étaient sexuels depuis la naissance.

On devait donc leur définir des droits sexuels à consentir à une sexualité quand bon leur semblait et avec qui ils voulaient. 

Ses thèses ont été propagées à travers toutes les plus grandes universités et médiatisées, en prenant bien soin de cacher ses travers et les méthodes utilisées.

Il a d'ailleurs toujours refusé également de communiquer les données qu'il a échangées avec un nazi pédophile et tueur d'enfants pendant la guerre, Friedrich Von Balluseck, sans jamais avoir été inquiété pour cela.

Nous devons la vérité sur Kinsey au travail exemplaire et acharné du Dr Judith Reisman qui a maintes fois dû se débattre contre de puissants lobbys qui ont tout tenté pour la maintenir dans l'ombre.

Un film bien documenté est visible ici :

Senta Depuydt, journaliste, à récemment établi, dans un article bien documenté, les liens entre l’éducation sexuelle des enfants à l’école, les recommandations de l’OMS et les « travaux » d’Alfred Kinsey. Pour en savoir plus vous pouvez également vous référer aux ouvrages de Judith Reisman et au livre d’Ariane Bilheran, « l’imposture des droits sexuels », repris dans la page « références ».